La vision de HAMA FONDATION 

Est celle qui intègre le droit social le plus absolu et légitime de tous les êtres humains prenant ainsi les facettes : de la naissance, de l’éducation, de la santé et du travail. Notre acte fondeur est un rêve pour le continent africain. Qui se conte en ces termes : l’œuvre social souvent très controversée dans notre époque puisse progressivement évoluer, au travers d’interventions qui se voudront très pratique pour tous les domaines d’applications au sein de HAMA FONDATION ; transformant ainsi notre simple intuition sociale en une affirmation forte par une conviction audacieuse d’améliorer le tissu social. Afin que chacun engage son potentiel dans son domaine, le transforme, le fasse se développer par un esprit critique dans le souci de l’autre, pris dans notre contexte pour la personne en situation de vulnérable particulièrement impactée par la société qui l’entoure dans les institutions qui l’abrite, elles sont également soumises à cette exigence de précarité ; souvent avec des ressources insuffisantes et inadéquates.

D’un autre côté, HAMA FONDATION s’engage à impacter de par son existence, efficacement dans un grand élan fraternel l’homme africain qui, engagé dans les mutations permanentes de sa société qui s’ouvre sur de nouveaux horizons sociaux, prenant de plus de plus en compte le bien-être selon l’aspect biopsychosocial. Cette plateforme a pour but d’être « un plaidoyer, une prévoyance, et une assistance publique » non pas dans le sens d’une répression de la réalité intrinsèque des personnes en situation de vulnérabilité, mais plutôt, par ce mouvement coopératif qui constitue une voie idéale permettant de combiner et d’orienter l’intérêt général. Cela semble incongru voir prétentieux de souhaiter un Afrique sans misère ni souffrance.

Mais toutefois, HAMA FONDATION se reflète comme une organisation de relais outillée dans la prévention et l’accompagnement dans le processus d’amélioration des conditions de vie à but non lucratif.  En s’inscrivant dans la citation de Victor Hugo (1848) qui dit : « Je ne suis pas de ceux qui croient qu’on peut supprimer la souffrance en ce monde ; la souffrance est une loi divine, mais je suis de ceux qui pensent et affirment qu’on peut détruire la misère… ». Parce que nous sommes convaincu que c’est de notre diversité que nous tirons notre profonde richesse et notre capacité à pouvoir contribuer tant sur le plan économique de ces institutions que sur le plan du bien-être biopsychosocial.